EHPAD signifie « Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes ». Son principe réside dans l’acquisition d’une chambre par un senior auprès d’une « résidence de retraite médicalisée ». Il s’agit d’une maison de retraite particulière qui ne reçoit que des personnes âgées qui souffrent de pathologies. En d’autres termes, leurs maintenir ailleurs constituerait une tâche complexe.
Un placement sans risque
Placer ses fonds dans un EHPAD signifie acquérir le patrimoine immobilier. Avec les 10% de la population qui sont des seniors, la clientèle ne va pas manquer. Ce pourcentage est estimé à atteindre 25% d’ici 40ans. Il n’est pas nécessaire d’un professionnel pour reconnaître qu’il s’agit d’un excellent investissement à long terme.
Même si nombreuses conditions sont incertaines, au moins certains avantages peuvent déjà être confirmés. La sécurité n’est pas à craindre, il suffit de choisir une société d’exploitation. Elle s’occupera de la gestion des biens ainsi que toutes les autres opérations. Quoi qu’il en soit, les chiffres obtenus sauront conclure l’efficacité du système.
Les statistiques estimées en 2025
D’ici 10 ans, les seniors compteront 590.000 dépendants. Comme tout marché, l’EHPAD évoluera avec l’augmentation en nombre de ces clients. Actuellement, les requêtes reçues pour l’acquisition d’un immobilier dans l’EHPAD s’affluent. 450.000 personnes plus de 75ans seront intégrées.
Un engagement tripartite couvre et protège les investissements : le gestionnaire de la résidence, l’Agence régionale de la Santé et le Conseil Général. Le projet de construire de nouveaux hébergement n’est pas autorisé que dans les zones géographiques présentent les mêmes conditions. En d’autres termes, là où il n’y a pas de concentration de requête, aucun projet ne sera validé par le réseau. Si quelques nouveaux établissements voient seulement le jour chaque année, la raison est d’ordre budgétaire.
La fiscalité de l’EHPAD
Deux catégories existent pour la location : LMNP ou loueur en meublé non professionnel, et LMP ou loueur meublé professionnel. Le bien mis en location dispose d’un avantage fiscal. En effet, l’acquéreur peut disposer d’un amortissement comptable annulant la fiscalité liée aux loyers. Avec le système LMNP, le senior bénéficiera d’un revenu défiscalisé pour les 20 à 30 années qui s’en suivent.
Pour prolonger cette période, un investisseur peut investir dans une résidence en vente en l’état futur d’achèvement ou une résidence VEFA. La loi Bouvard régit ainsi l’investissement avec une réduction de taxes jusqu’à 11% du montant d’achat. Ce qui va durer 9 ans sauf s’il y a abandon de l’amortissement du client pour le bien qui est concerné.
Un autre avantage est le taux de 4,2 à 5% procuré par l’EHPAD comme témoigne son site euodia.fr. Une rentabilité captivante si une étude comparative est réalisée avec l’immobilier classique qui est de l’ordre de 3,5% à l’heure actuelle.
Dans le contrat de bail, le gestionnaire de la société s’engage à prendre en charge les coûts des travaux et des dépenses liés aux biens durant 12 ans. Ce qui correspond à un gain net pour chaque investisseur. Seuls les revenus BIC ou bénéfices industriels et commerciaux seront soutirés du compte du client avec le TVA. Il est aussi possible de confier les opérations administratives à un expert-comptable selon le souhait de l’investisseur.
Les chiffres généraux sur l’EHPAD
Un ticket d’entrée d’au moins 130.000 hors taxe doit être en possession de l’investisseur s’il s’intéresse à un bien neuf. Pour d’ancien bien, 100.000 euros seront appropriés.
Les services dans un EHPAD se composent d’hébergement, de restauration et de suivi médical. Ce qui vaut 90euros au quotidien. A première vue, cette somme est élevée. Quoi qu’il en soit, 96% des EHPAD en France sont remplis.
En moyenne, la population française touche 1200euros par mois à la retraite. Le calcul affiche 2700euros pour un mois d’hébergement. Les 1500 euros manquant seront résolus avec les subventions publiques, les allocations personnalisées pour l’autonomie ou l’APA et les aides personnalisés au logement ou l’APL. Chaque dépendant peut toucher entre 550 à 1300 euros selon leurs conditions. Avec 70% des seniors qui sont propriétaires de leurs résidences, ils décrochent 3600euros de l’épargne de précaution.